En juillet-Août, l’artiste Maria Vita Goral occupe la vitrine.

L’installation des plumes volantes parle à propos de l’humanité.
Venez l’y découvrir.
« La nature de l’humanité est déformée.
La limite entre l’être humain et l’animal, la limite entre la chair et l’esprit.
L’oeuvre ouverte, directive, présente, libre et tangible est la question posée par ce projet.
C’est une métaphore de la maladie , du crime ou histoire de libération.
La situation qui nous offre la possibilité de trouver la solution ou devenir victime.
Je me suis intéressée à la création d’un espace léger, cérémonial mais d’un autre côté, cette situation, loin d’être naïve, amicale est l’inverse. »

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